Les 8 IRT viennent de créer l’Association des IRT, French Institutes of Technology (FIT), avec quatre objectifs :
- renforcer l’attractivité, et promouvoir le modèle des IRT, dans leur diversité structurelle et organisationnelle, tant sur un plan national qu’international ;
- être l’interlocuteur de la Commission Européenne pour que les IRT trouvent toute leur place au sein des différents programmes de Recherche et d’Innovation et notamment les programmes H2020 ;
- promouvoir les échanges entre ses membres et la coordination de leurs actions pour optimiser leur efficacité de fonctionnement, leur développement et leur pérennisation ;
- développer la cohérence entre les différents objets du Programme « Investissements d’Avenir » notamment en renforçant les liens entre les mondes académiques et industriels. Cette cohérence pourra également s’illustrer entre les IRT par l’identification d’axes communs thématiques de coopération scientifique.
Rappelons que l’enjeu des IRT est d’innover pour créer de la valeur pour les industriels, grands groupes comme ETI, PME et start-ups qui sont membres, partenaires ou clients, avec le concours des acteurs académiques et le support de l’Etat, des collectivités territoriales. Leur ambition est d’être le fer de lance de la Recherche Technologique française au niveau international, tout en irriguant l’ensemble des écosystèmes locaux de Recherche et d’Innovation français.
Les 8 IRT créés depuis 2012 représentent :
Vincent Marcatté, président de B-Com, est élu président, Gilbert Casamatta, président de l’IRT Saint-Exupéry, vice-président. Ils bénéficieront de la contribution active de l’ensemble des autres présidents des IRT et du soutien d’un comité opérationnel composé de : Stéphane Cassereau, directeur général de l’IRT Jules-Verne, nommé secrétaire général, et Pascale Boissel (Bioaster), trésorière.
Merci Michel. Je trouve surprenant que les IEED ne soient pas associés à cette initiative, car ce sont bien des IRT à vocation énergétique. Les quatre objectifs évoqués sont extrêmement pertinents et devraient accompagner le développement de tous les Instituts lauréats des investissements d’avenir.
Merci Michel, tout est dit sur la carte. Les IRT et universités ensemble pourraient élargir l’exemple suisse des CTI, permettant aux entreprises d’externaliser leur R&D à un coût environ 50% moindre. Le tout piloté par un collège d’experts incontournables. A la clé, l’efficacité et l’embauche tout en préservant la propriété intellectuelle.